baiser
Je l'avais rencontrée sur le net et nous nous étions donné rendez-vous dans un hôtel de l’île. Où ? Je ne vous le dirai pas car à la fin de cette histoire, vous risqueriez d’essayer de le trouver
pour y rencontrer cette fille si extraordinaire… Elle m’avait donné toutes les indications pour la trouver et le cœur battant, plus que de raison, je roulais en direction de ma petite coquine
d’internaute. L’hôtel était bien placé. Il ne payait pas de mine. Il n’attirait pas l’attention. Il était aussi bien planqué. Une fois stationné, je repensai à tout cela en me disant qu’il était
encore temps de faire marche arrière et de reprendre le cours de mon existence… Ma femme, mes enfants, mon boulot… Mes pensées revinrent alors vers ma propre personne, mes rêves et mes désirs et je
me dis finalement que j’avais moi aussi le droit de faire mes propres expériences et que cette fois-ci, je serai seul maître de ma destinée. Je descendis de la voiture. Il faisait chaud, ce qui ne
fit qu’accentuer mon embarras. Je marchais les jambes flageolantes vers la porte qu’elle m’avait indiquée, le regard bas, pour n’en croiser aucun autre, pour ne croiser aucune paire d’yeux
inquisitrice me demandant ce que je faisais là ! Je frappai doucement à la porte, de peur d’alerter tout le voisinage, de peur de me faire moi-même peur. « Entrez » me répondit-on. Je pénétrai dans
la petite chambre climatisée, repérant d’abord le lit encore immaculé, la petite table et l’armoire. Une porte entr’ouverte donnait certainement sur une petite salle de bain. Mais apparemment, il
n’y avait personne. « Avancez jusqu’à la table et fermez les yeux ! » La voix était douce et chaude et sans trop réfléchir au risque que je prenais, je m’exécutai. J’entendis grincer la porte, des
pas feutrés se dirigèrent vers moi et elle me banda les yeux. « Bonjour Sylar, dit-elle en prononçant Si-Lar. - Saï-lar, rectifiais-je en prononçant à l’américaine le prénom du méchant d’une série
télé dont j’étais fan depuis peu. - Bonjour Sylar reprit-elle en rectifiant à son tour. - Bonjour Dreamgirl, répondis-je, en souriant de la bêtise dont nous faisions parfois preuve en choisissant
nos pseudos sur internet. » J’étais à la fois très excité, comme le témoignait la bosse dans mon jean et quelque peu inquiet de me retrouver ainsi à sa merci. Elle tourna autour de moi,
m’effleurant ça et là, comme si elle prenait le temps de me jauger, comme si elle se demandait encore à quelle sauce elle allait me manger. « Vous avez peur ? Vos poils sont hérissés ! - Oui, un
peu. Ca se bouscule dans ma tête… - Calme-toi, dit-elle, en passant au tutoiement. Je suis là pour t’aider à passer ce cap et je te promets que tu ne le regretteras pas. Alors détends-toi et
profite. » Elle se mit à déboutonner ma chemise, lentement. Je voulus poser mes mains sur son corps pour pouvoir à mon tour voir à qui j’avais affaire mais fermement, elle plaqua mes bras le long
de mon corps tout excité. Elle m’ôta la chemise et se plaqua un instant contre moi : quelle magnifique sensation de sentir ses gros seins se blottir contre moi. Je pus également juger de sa taille
moyenne. Elle posa un baiser sur mes lèvres et me demanda : « Alors, premières sensations ? - Prometteuses, répondis-je laconiquement. Elle s’attaqua ensuite à la ceinture de mon jean, ôta mes
chaussure puis mon jean. En slip devant elle, j’étais toujours dans le noir le plus absolu. Elle resta un moment sans me toucher. Cela sembla être une éternité. Je sentis alors ses fesses se poser
contre mon sexe, elle se mit à onduler de droite à gauche et de haut en bas. N’y tenant plus, je tendis les mains pour la saisir mais une fois de plus, elle se déroba à mon étreinte. Ce petit jeu
m’avait mis dans tous mes états et mon sexe souffrait le martyre, emprisonné qu’il était dans sa prison de tissu. Laquelle me fut subitement enlevée. Mon sexe érigé se tenait maintenant devant
elle, dressé dans toute son excitation. Une fois de plus, elle vint se blottir contre mon corps et je pus cette fois-ci constater qu’elle était entièrement nue. « Touche-moi ! » dit-elle. Je ne me
fis pas prier et je me mis à caresser ce corps de femme inconnue pressé contre moi. Sa peau était douce, ses cheveux longs, ses formes plantureuses. Elle avait coincé ma queue entre ses cuisses et
je pouvais d’ores et déjà me rendre compte que ce n’était pas seulement moi qui était excité : sa chatte était humide à souhait. Elle se décolla de moi, m’attrapa le sexe de la main droite et
plaqua l’autre main contre ma fesse droite et se mit à me sucer, doucement, lentement, langoureusement. Elle arpentait chaque centimètre de mon membre comme si elle faisait connaissance avec lui,
puis elle l’engloutit et commença les va-et-vient en appuyant sur ma fesse pour accompagner le mouvement. Elle me pompa si bien que je sentis l’orgasme rapidement. Je lui demandai d’arrêter pour
pouvoir stopper cette première vague qui menaçait de m’envahir mais elle n’obtempéra pas. Je lui dis alors que j’allais jouir. Elle continua en m’empêchant de sortir de sa bouche. Je ne pus alors
rien faire de plus qu’inonder le fond de sa gorge de ma semence toute chaude. Elle continua à m’aspirer la queue jusqu’à mon dernier soubresaut et me gratifia d’un : « Hum ! Délicieux ! » Elle me
prit la main et me dirigea dans la pièce. Elle m’indiqua le lit devant moi, me demanda de m’asseoir puis de m’allonger, la tête sur le traversin. « A mon tour maintenant » dit-elle, en se mettant à
califourchon au dessus de mon visage et en plaquant sa chatte sur mes lèvres. Elle attrapa mes mains et les guida sur ses fesses rebondies. Tandis que mes mains glissaient sur ces belles fesses
charnues, remontaient le long de son dos, ma langue s’était activée. Sa chatte était lisse, complètement rasée. Je la découvrais avec ma langue, que je me plais à croire experte, et visiblement,
elles s’entendaient bien (je veux dire ma langue et sa chatte). Elle commença à se trémousser doucement au dessus de mon visage, puis de plus en plus frénétiquement et c’est là que je perdis tout
contrôle. Elle agrippa ma tête et se mit à se masturber sur mon visage. J’essayais tant bien que mal de lui prodiguer mes caresses buccales mais elle n’y entendait plus rien. Tout mon visage était
couvert de son jus et j’avais par moment du mal à respirer, mais quel pied. Cette femme en furie au dessus de moi me remettait d’aplomb et je sentais ma queue durcir entre mes cuisses… quand
soudain je la sentis engloutie par une bouche chaude et voluptueuse, qui se mit ensuite à la laper ! J’essayais de comprendre ce qui m’arrivait, ce qui arrivait. La femme avec qui j’avais
rendez-vous se branlait littéralement sur mon visage, mais visiblement une autre était en train de me sucer ! Je voulus me dégager, enlever mon bandeau, pour jeter un œil mais elle me maintint
fermement sous sa chatte, tandis que ses mains attrapèrent les miennes. Elle me dit alors : « Arrête ! Tu vas tout gâcher ! Te souviens-tu de mon surnom sur le chat ? - Dreamgirl, répondis-je
péniblement, à moitié étouffé. - En es-tu bien sûr ? » Mon cerveau fonctionnait aussi vite qu’il le pouvait, car en ce moment précis, il avait du mal à faire la part des choses entre le plaisir que
mon corps ressentait, l’autre personne s’en donnant à cœur joie sur ma queue, et la réflexion qui essayait de s’installer dans mon crâne. Cependant, je visualisai assez bien la fenêtre de msn
messenger lors de nos chaudes discussions et focalisai sur le prénom. D’un coup, tout s’éclaira : « Dreamgirls ! Y’avait un s à la fin, parvins-je à dire ! - Bien, Sylar ! - Très bien Sylar ! dit
une autre voix, une voix douce de femme. Je poussai un « ouf » intérieur de soulagement car je me demandais depuis un moment si c’était bien une femme et non pas le mec de la première ! Comme pour
me donner raison, elle me mit une capote, qu’elle m’enfila avec sa bouche, me suça vigoureusement et s’empala d’un coup sur moi. La première me libéra les mains et je pus partir à la découverte de
la seconde. Elle semblait être menue, chacune de mes mains pouvait accueillir une de ses fesses, son ventre était musclé et ses seins presqu’inexistants. Elle avait des cheveux longs et fins. Quand
mes doigts glissèrent sur son visage, elle les emboucha et les suça avec délectation. Elle les recouvrit d’une salive abondante. « Mets-les moi dans le cul ! » m’ordonna t-elle. Je ne me fis pas
prier et perforai son petit cul de mes deux index, les paumes de mes mains enserrant ses fesses. La première sortit de mon visage, le lit bougea et je ressentis comme une bouffée d’air frais. En
fait, elle se positionna au-dessus de moi, mais dans l’autre sens. Ma bouche et ma langue se retrouvèrent sous sa chatte mais mon nez, pile en dessous de son petit trou. Je décidai qu’il était
temps pour moi de satisfaire un autre de mes fantasmes, un que je n’avais jamais vraiment osé car cela me rebutait un peu. Mais là, la situation avait pris une folle tournure alors sans plus
réfléchir, j’ôtai mes doigts du petit cul accueillant de la seconde pour saisir celui, beaucoup plus plantureux de la première, et lui écartant les fesses à pleine mains, je me mis à lui lécher la
raie goulûment avant de lui lécher le petit trou. Elle laissa échapper un râle de plaisir, ce qui ne fit qu’accentuer mon excitation. Je me montrai plus entreprenant, lui perforant le cul avec ma
langue. Elle se mit à faire des mouvements de va-et-vient dessus comme s’il s’agissait d’un sexe bien dur. Ses fesses s’écrasaient sur mon visage. Délicieuse sensation en vérité ! Je la sentais
vibrer, ses petits cris me faisaient un effet fou ! Elle se dégagea de cette position et demanda à la seconde de se pousser ! Et sans plus attendre s’empala sur ma queue qu’elle fit glisser tout au
fond de son cul, dans un râle de plaisir. Je la sentis se cambrer de tout son être. La seconde prit sa place et me présenta sa chatte à lécher, l’autre se pencha en arrière et se coucha
littéralement sur son dos. Je suivais tous ces mouvements du bout de mes doigts. Je pouvais maintenant me délecter de cette sodomie démente tout en lui aggripant ses gros seins, que je pinçais sans
ménagement, que je pressais, tandis que je suçais sa copine. Elle avait, elle aussi, le minou tout lisse. Il faisait chaud dans la pièce malgré la climatisation. Nous transpirions sous nos efforts
conjugués. Je vivais un véritable rêve ! Mon corps et mon esprit étaient comblés. Je la sentais aller et venir sur ma queue. Je sentais ma queue pénétrer son étroit orifice. Je sentais sa chatte,
ses lèvres, son clito glisser sous ma langue, sur mon visage. Je sentais l’odeur de se chatte, l’odeur de son excitation. Je goûtais à sa cyprine, à sa sueur qui dégoulinait le long de son corps
jusqu’à son delta imberbe. Je sentais le lit se plier, se tordre sous notre danse du plaisir. Et maintenant… je sentais… je sentais aussi… cette langue… cette langue qui me titillait les couilles !
Une décharge électrique me parcourut tout le corps ! Là, je ne posais plus de questions : une troisième comparse nous avait rejoint. Comme pour me donner raison, entre deux coups de langue bien
appuyés, je l’entendis susurrer : « Bonjour Sylar ! Je vois que mes amies t’ont déjà bien chauffé ! Tes couilles sont gonflées et brûlantes ! Hum ! Un vrai régal ! » Ma réponse m’échappa car après
ses derniers mots, elle goba mes testicules entièrement dans sa bouche chaude. Un cri de plaisir, plus ou moins étouffé par le minou de la seconde, laissa entendre à l’assistance ma joie
d’accueillir cette nouvelle venue. Je tâchai néanmoins de me concentrer sur ce que je faisais pour éviter de penser à ces sensations qui remontaient dans mon bas ventre, mais je sentais poindre à
l’horizon les signes avant coureurs d’une formidable explosion. La première s’était mise en mode « ralenti » sur ma queue, montant et descendant, dans un rythme lancinant. Elle était, elle aussi,
en train de construire petit à petit sa déferlante. Quelle ne fût pas ma surprise pourtant de la sentir s’extraire complètement de cette position. Il y eut un petit moment où elle ne bougea plus,
cependant je l’entendais gémir doucement. Je compris en fait ce qui se passait quand je me rendis compte que mes couilles n’étaient plus cajolées. La troisième devait s’occuper d’elle ! Aaaaah !
Elles me firent encore mentir : une langue experte venait de s’emparer de ma queue et la pompait fort. Petit temps mort et à nouveau le cul de la première. J’expérimentais un panel de sensation
toutes aussi nouvelles les unes que les autres, et je partais petit à petit dans un trip à l’endorphine pure ! J’avais des titillements au bout des doigts qui caressaient ces chaires offertes et au
bout des tétons. Mes poils se hérissaient sur mon corps. Je perdais pied, signe que l’orgasme n’était plus très loin. Cela dût se remarquer car la première dit alors : « Il va jouir ! Je le sens se
contracter en moi. C’est bon ! Moi aussi, je crois que je vais jouir les filles ! » Elle accéléra la cadence, mon cœur se mit à battre à tout rompre ! J’empoignai vigoureusement ses fesses pour
l’aider à aller plus vite. Pendant ce temps, je bouffais littéralement la chatte de la seconde, ma langue la fourrant au plus profond, glissant parfois sur son anus. La troisième, elle, me faisait
une véritable fellation de mes couilles, sa langue remontant ma queue pour glisser jusqu’à la raie de sa copine puis redescendait jusqu’à mes bourses sur le point d’exploser. La première effectuait
un véritable rodéo sur moi et je l’accompagnais dans cette ruée sauvage. Ses belles fesses s’écrasaient à chaque fois sur mon aine et je ne sais comment sa copine arrivait toujours à me lécher les
burnes. Ce sont ses cris, quand son orgasme la secoua, qui déclenchèrent le mien. Je me mis à hurler moi aussi et je m’enfonçai au plus profond de son cul pour lâcher ma semence dans mes derniers
va-et-vient chaotiques. Quel pied ! Je tremblai encore, des spasmes parcouraient tout mon corps et c’était incontrôlable. Elle se laissa choir sur moi. J'accueilli avec bonheur ses deux mamelles
sur ma poitrine. On m’extirpa d'elle, on m'extirpa également le préservatif en prenant soin de laisser le sperme me dégouliner dessus via sa raie à elle, puis on nous nettoya à coup de langues. Ma
jauge d’énergie était maintenant à zéro, j’avais brûlé tout mon combustible. Je balbutiai péniblement un : « Merci mesdames, je n'ai jamais rien connu de semblable ! C’était merveilleux ! - C’était
? Qui t’a dit que c’est terminé ? Elle a joui, mais nous non ! me répondirent deux voix en cœur. - Mais je suis complètement H.S mesdames ! - Ne t’en fais pas mon cher Sylar, nous connaissons plus
d’une manière de réveiller tes ardeurs ! - Et crois-nous, tu ne sortiras pas d’ici tant que tu ne nous auras pas fait jouir aussi ! - Mais… - Tais-toi maintenant et retourne-toi ! Couche-toi sur le
côté ! » Plus que je ne m’exécutai vraiment, elles me retournèrent doucement. La première se laissa glisser sur le lit. Elles remontèrent ma jambe droite et l’une d’elle recommença à me titiller
les testicules. Avec douceur, elle léchait ma queue en faisant attention à ne pas toucher le gland, montant et descendant. L’autre se blottit contre mon dos et commença à m’embrasser les fesses, à
me les mordiller. Petit à petit sa langue s’insinua dans ma raie, puis jusqu’à mon anus. Parfois, quand elle remontait vers le haut de mes fesses, l’autre prenait le relais, délaissant quelques
instant mes burnes pour aller ma laper le petit trou aussi. Puis sa copine la chassait, les deux langues bataillaient entre mes fesses. Il leur arrivait de coopérer, chacune ayant un testicule dans
sa bouche à sucer. Je me dis, dans la brume dans laquelle j’étais, qu’un camé devait peut-être ressentir cet espèce d’extase béat sans fin. La première vint me coller un de ses nichons dans la
bouche, je le suçai langoureusement. Elle se décolla de moi pour m’embrasser le visage, me lécher les oreilles, les pointes de mes tétons déjà fort érigés. Et c’est ainsi, que petit à petit, je
sentis ma queue revenir du royaume des morts. Un « Aaah ! » collégial accueillit cette résurrection. « C’est à moi de le pomper les filles, s’écria la troisième, vous avez déjà eu votre compte ! Je
veux finir de lui durcir la queue. » Elle me remit sur le dos, m’écarta les jambe et commença son numéro. On sentait l’experte en la matière. Elle savait varier les sensations pour toujours
surprendre le mâle qu’elle avait en bouche. Tantôt, elle suçait mon sexe en aspirant bien fort, tantôt elle le faisait dégouliner de salive avant de le gober entièrement jusqu’au fond de sa gorge,
tantôt elle se faisait rapide, tantôt elle se faisait lente. Je souffrais car elle m’amenait au bord du gouffre puis m’en retirait. « Regarde-la ! A croire qu’elle était en manque d’une queue,
cette petite salope ! - Tu sais bien que c’est une sacré nympho : elle saute sur tout ce qui bouge ! Homme ou femme, elle n’en a jamais assez. - Je le sais bien, mais à chaque fois que je la vois,
je suis toujours étonnée de la voracité dont elle fait preuve. - Sans vouloir vous interrompre mesdames, dis-je, pourrais-je avoir quelque chose en bouche ? - Sans problème Sylar ! - Pas touche les
filles, je vous ai dit qu’il est pour moi là ! - Oh la la ! Mademoiselle fait sa sauvageonne ! O.K, on te le laisse 10 minutes, après ça, tu partages, contente ou pas ! - Alors comme ça, ce que je
te fais ne te suffit pas salopard ? - Je n’ai pas dit ça… - Alors quoi ? - Je me disais juste que tout à l’heure, nous 4 étions en action et qu’il était injuste de laisser ces dames sur la touche…
- Tu sais, dans tous les groupes rocks, y’a le moment du solo guitare… et bien c’est maintenant ! » Elle ponctua sa phrase en engloutissant ma queue jusqu’au plus profond de sa gorge, puis extirpa
sa langue pour me lécher les couilles. Du grand art ! Mon sexe dégoulinait maintenant de salive. Elle le nettoya en le passant entre ses seins que je découvris alors volumineux. Je laissai échapper
un « Waouw ! » admiratif. Elle me passa une capote d’une langue toujours aussi experte. « Mets-toi à genoux ! » me dit-elle. Je m’exécutai. Elle remua sur le lit. Je sentis ses fesses venir se
blottir contre mon ventre, elle voulait que je la prenne en levrette. La première confirma : « Mon cher Sylar, j’espère que t’as vu beaucoup de westers car cette petite délurée adore se faire
prendre bien fort en levrette. N’hésite pas à la fourrer profond et à martyriser ses deux mamelles. Plus tu lui feras mal, plus elle jouira fort ! - Baise-moi, cow-boy, baise-moi fort ! ajouta la
troisième en s’empala sur ma queue. » Je m’accrochai à ses reins et commençai à la pilonner. Mes deux précédents orgasmes avaient fait que je pouvais tenir plus longtemps maintenant. Elle poussait
des cris à ameuter tout le voisinage et accompagnait avec une frénésie sauvage mes coups de boutoirs. Mes doigts étaient encrés dans sa chaire dans une tentative désespérée de la contrôler. Elle
était en rut et ruait carrément devant moi. Alors je décidai de changer de méthode : avec ma main droite, je lui assénai une magistrale tape sur sa fesse droite en lui disant : « Du calme ho ! Du
calme ! » Comme si je dressai un cheval. Elle poussa un soupir de satisfaction mais n’obtempéra pas. La seconde tape fut plus forte et sa fesse rougit sous l’impact. « Encore ! » grogna-t-elle,
suppliante. La suivante atterrit sur sa fesse gauche. Elle ne s’y attendait pas et se cabra. J’en profitai pour la retenir en empoignant ses deux grosses mamelles, que je pressais fortement. Je
repris mes coups de boutoirs, doucement d’abord puis de plus en plus vite. Elle pencha la tête en arrière, ses cheveux courts vinrent au contact avec mon visage. Je savais ce qu’elle cherchait. Je
cherchai ses lèvres et échangeai avec elle un baiser torride. Ses mains étaient posées maintenant sur mes fesses et accompagnaient mes va-et-vient. De manière autoritaire, je la penchai à nouveau
vers l’avant, m’extirpai de sa chatte et me mit en appui sur mes pieds. D’une main, je partis à la recherche de ses fesses, de l’autre je tenais mon dard bien trempé. Lorsque je trouvai ce que je
cherchais, je m’accroupis légèrement et lui enfonça ma queue dans son cul, d’un coup sec. Avant qu’elle ne puisse vraiment réagir et en appui sur ses frêles épaules, je recommençai à la pilonner
sans vergogne. Ses cris rauques accentuèrent mon excitation. Je la pénétrai jusqu’à la garde, mes balloches lui fouettant la chatte. La donzelle trouva néanmoins le moyen de s’adresser à ses
copines qui devaient jouir pleinement du traitement que je lui infligeais. « Eh ! Les deux gouines là-bas, venez téter mes nénés ! Ça vous fera une occupation ! » Le lit bougea à nouveau et je
supposai que les deux autres se mettaient en position. J’en profitai alors pour écarter doucement mon bandeau pour les apercevoir. Celle que j’étais en train de sodomiser était une belle capresse à
la peau brune et aux cheveux coupés courts. Ses deux énormes seins contrastaient avec la finesse de sa taille. Elle avait un petit cul bien dodu et rond. Elle était menue et semblait assez jeune.
Celle qui m’avait reçu était une chabine aux formes opulentes. Elle était à droite, sous sa copine, le visage enfoui sous le sein lourd qu’elle gobait avec ferveur. Elle avait glissé une main sous
ses fesses et devait titiller son anus tandis que son autre main caressait son clito. Sa chatte, comme je m’en étais déjà rendu compte, était complètement épilée. La seconde était une
métropolitaine aux longs cheveux châtains qui, contrairement à ses deux comparses, était très mince. Ses seins, très petits, laissaient apercevoir des mamelons proéminents. Sa petite chatte était,
elle aussi parfaitement lisse. Elle était accrochée au sein gauche de son amie avec ses deux mains. J’humectai les doigts de ma main gauche et reposant mon appui sur ma seule main droite sur
l’épaule gauche de ma « monture », je me mis à lui caresser son sexe humide. Elle referma aussitôt ses petites cuisses autour de ma main en signe d’acquiescement. C’est ainsi que nous nous
dirigeâmes tous les 4 vers un autre fabuleux orgasme. Sa jouissance anale fut telle que je ressentis ses contractions musculaires, bien logé que j’étais au fond de son cul. Ses copines ne tardèrent
pas à la suivre dans son élan. Alors que je m’apprêtai à jouir moi aussi, elle se désengagea de ma queue, se retourna, m’ôta la capote et se mit à me sucer frénétiquement. Je me redressai. Elle me
suça si fort que j’eus l’impression qu’elle aspirait le sperme depuis mes testicules. Mes deux mains imprimaient à sa tête un mouvement de plus en plus rapide. Ses seins venaient s’écraser sur le
haut de mes cuisses. Je joui dans sa bouche en poussant un hurlement libérateur. Flageolant sur mes jambes, je m’assis un instant, histoire de reprendre mon souffle, avant, à mon tour, de me mettre
à quatre pattes, les reins cambrés, le cul, les couilles et le sexe offerts. « A vous mesdames ! Il me semble que l’une d’entre vous n’a pas encore joui et je ne voudrais pas faire de jalousies ! »
Des éclats de rire résonnèrent dans la pièce. Je les entendis murmurer. Maintenant que je les avais entr'aperçues, je savais à qui appartenait chaque voix. Je demandai : "Mesdames, puis-je savoir
vos prénoms ? - Moi, c'est Gladys, dit la première, la chabine aux belles formes rondes et au cul si accueillant. - Et moi, Karine, dit la troisième, la déchaînée, la maîtresse des fellations. - Et
moi, c'est Odile, dit la seconde, d'une petite voix fluette. - C'est donc à ton tour de jouir Odile ! - Oh, mais j'ai déjà beaucoup joui ! Je ne suis pas restée inactive et mes amies non plus. Mais
il est vrai que je n'ai pas encore eu les honneur de ta queue, pour moi toute seule ! - Je suis là pour te servir, maîtresse Odile !" Les autres pouffèrent de rire. C'est vrai qu'à sa voix, elle
avait l'air beaucoup plus jeune. D'après ce que j'avais vu, c'était une métro, très fine, avec presque pas de poitrine, la chatte toute lisse. Je l'entendis dire à ses copines : "Vous croyez que je
peux le faire ? - Pourquoi pas ? répondit Gladys. Je sais que t'en meurs d'envie et l'occasion ne se représentera peut-être pas de sitôt ! - Ouais, vas-y, lance-toi ! Dans l'état dans lequel il
est, je ne crois pas que ça lui déplaira ! riposta Karine. - OK, les filles ! Vous m'aidez ?" Elles préparaient quelque chose. Pendant deux, trois minutes, elles ne pipèrent mot. Moi, j'en profitai
pour essayer de recouvrir quelques forces. Le lit se mit à danser. Elles étaient toutes les trois revenues. Elles se mirent en position. Karine se glissa sous moi, tête bêche pour avoir mon sexe à
portée de bouche. Gladys se coucha devant moi, emmêlée aux cuises de Karine pour me présenter sa chatte. Karine commença à me pomper doucement, en faisant courir ses mains sur mon corps et Gladys
me saisit la tête pour l'orienter vers leur sexes à toutes les deux, et je commençai à les lécher, en passant d'une chatte à l'autre. Deux petites mains frêles vinrent se poser sur mes fesses et
une langue me titilla l'anus. Odile venait de se joindre à nous...
chienne
Nous avions rendez-vous un soir, tard. Il devait aller à un repas de boulot, et m'avait promis de venir chez moi après. Je lui avais dit que je me coucherais sans l'attendre, mais que la porte de
la maison ne serait pas fermée à clef Je m'étais douchée, parfumée, et me mis au lit vers minuit, nue sous ma couette, une bougie allumée sur la table de nuit. Peu de temps après j'entendis la
porte d'entrée s'ouvrir, puis des pas monter l'escalier. J'étais allongée sur le ventre, à peine relevée sur le côté, une jambe légèrement écartée, pour laisser accessible à ses mains la plus
grande partie de mon corps. Je l'entendis se déshabiller sur le pallier, puis entrer dans ma chambre. Il s'allongea d'abord contre moi, par-dessus la couette, releva mes cheveux et embrassa ma
nuque. Je sentais son sexe contre mes fesses. Je gémis comme une femme qu'on éveille à peine, bougeai comme dans un demi-sommeil, tournant à peine mon buste vers lui pour libérer mes seins, les
bras sur l'oreiller, entièrement offerte à son désir. Il flatta mes courbes à travers la couette, puis l'écarta et eut un gémissement de plaisir en découvrant ma nudité. Son sexe se tendit. Tandis
que sa bouche embrassait le creux de mon cou, sa main caressa mes seins, mon ventre, descendit sur mes hanches, et mes jambes s'écartèrent imperceptiblement lorsqu'il remonta l'intérieur de mes
cuisses... Il caressa d'abord ma toison, puis, en même temps que sa langue s'insinuait dans ma bouche, ses doigts écartèrent mon intimité et me trouvèrent humide de désir. Il me fouilla, étala ma
cyprine sur toute la surface de mon sexe, augmentant mon désir... et le sien. N'y tenant plus enfin il écarta fermement mes cuisses, se plaça entre elles et me pénétra sans résistance, poussant un
soupir d'aise dans la chaleur de ma mouille accueillante Offerte à lui, je savourais son sexe dur qui m'emplissait, sa force tandis qu'il agrippait mes poignets comme pour m'empêcher de m'enfuir,
et relevant encore mes cuisses je le laissai alors me labourer. Mon corps se tendait sous ses coups longs, son gland sortant presque et glissant à nouveau jusqu'au fond de moi, et je commençais à
gémir du plaisir que me donnait sa queue adorée, alors qu'il accélérait son rythme. Je ne sais plus quelles positions nous adoptâmes ensuite, jusqu'à me retrouver par la force de sa volonté à
quatre pattes devant lui qui me pilonnait avec force. Empoignant mes hanches fermement, il allait au plus profond de moi, ses couilles battant sauvagement ma chatte, et je sentais sa sueur couler
sur mes reins cambrés. Écartelée sous ses coups, ouverte à sa queue magnifique, je criais maintenant de plaisir sans aucune retenue ; plus rien ne me contrôlait que lui. Je sentis à sa respiration
rauque que son plaisir montait ; se redressant un peu il me défonça bestialement en apothéose, jusqu'à exploser longuement en moi, faisant convulser ma chatte d'un orgasme inouï tandis que je
criais sans discontinuer ! Encore raide en moi, il allait et venait maintenant doucement pendant que la tension retombait, son sperme chaud adoucissant nos sexes brûlants. Me redressant contre lui,
il caressa mes seins.
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