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La lune éclairait de son voile léger, le mur démolit de cette bergerie en ruine. Et les pierres blanches des anciens murets scintillaient dans la nuit constellée d’étoiles. Une douceur profonde enveloppait la fraîcheur de l’air, comme un écrin moelleux, et seul le chant des grillons inondait les champs alentours comme une musique envoûtante. Le corps allongé sur les pierres plates, la peau à même le minéral rayonnant encore de la chaleur absorbée durant la journée, elle s’offrait au regard lumineux du ciel. Nue, les bras et les jambes ballantes, elle écoutait ainsi courir la nuit sur son ventre, comme une caresse sensuelle et intime. Elle pensait à lui, à son visage qu’elle projetait devant ses yeux, laissant ses souvenirs l’emmener vers les moments inoubliables de leur dernière rencontre. Elle était heureuse, épanouie comme la rosé du matin. Rien ne pouvait la déranger, elle appartenait toute entière à ces lieux mystérieux qui l’entourait, sans crainte. Soudain elle ressentit en elle un vif désir de faire l’amour, d’être emporté par l’étreinte violente de celui qui inondait son esprit depuis plusieurs minutes. Ses mains se joignirent sur son sexe, comme pour le réchauffer, imaginant la douceur exquise des caresses de son amant sur cet endroits précis. Elle creusa ses reins pour approfondir cette délicieuse sensation, s’offrant toute entière à ce désir naissant. Elle se releva d’un bon, puis couru dans l’herbe haute du champ voisin, lui fouettant ses cuisses nues et déposant sur sa peau des perles de rosé. Elle se roula dans un parterre de fleur humide, que la douce lumière laiteuse de la Lune mettait en relief. Ses seins ballottaient agréablement, entraînés par le mouvement de son corps qui tournait sur lui-même. Bientôt sa peau dégoulinait, et picotait sous l’assaut des tiges herbeuses sur lesquelles elle s’était allongée. Elle arracha du sol une touffe végétale et caressa les pétales de son sexe dans un langoureux va et viens. Une main passé sous ses fesses, le buste relevé, les jambes écartées, elle se caressait avec délectation, en s’abandonnant à son propre plaisir, la nuque en arrière imaginant son amant en action. Ses soupirs se faisaient plus fort, libre de crier son plaisir à se monde silencieux qui semblait l'écouter. Elle se flagella ensuite, le buste et le ventre, cherchant à décupler son excitation, tout en caressant de sa main située sous les fesses, la chair humide et brûlante de son sexe. Haletante, elle rejoignit la lisière du champ offert maintenant à la puissante lumière de la pleine Lune. Sur la chaîne d’acier luisante dans la nuit, tendue entre deux piliers de pierres brutes et servant à fermer l’accès, elle s’assit à califourchon. A la bonne hauteur de son entrejambe, elle frotta son sexe sur le froid métal lui procurant une douce sensations de fraîcheur. Les maillons irréguliers glissaient sur sa chair, excitant voluptueusement l’organe de son plaisir. Elle se jouait de la tension de la chaîne, au grès des frissons qui montaient le long de son dos, cherchant ainsi à augmenter l’intensité de son désir. Soudain, un violent tremblement la parcourue, et elle poussa un puissant soupir dans la nuit fraîche estivale. Son corps repu s’éffondra alors sur le muret de pierres sèches et dont la chaleur rayonnait encore un peu, suffisamment pour l’accueillir dans un sommeil qui n’allait pas tarder à l’emporter. La lune encore blanche s’éffaça enfin derrière la colline, laissant à ses rêves et à la douceur de cette fin de nuit, le corps embellit de la jeune femme. Un visage la regardait encore, blotti contre son coeur, il portait un léger sourire, semblable à celui de son amant. Une coccinelle vint se poser sur ses cheveux couleur épis de blé où quelques brins de luzernes s’y étaient emmêlés.

Ah mesdemoiselles ! Vous rappelez-vous de ces soirées pyjama entre filles ? On était encore jeunes, et presque innocentes... On se retrouvait pour se raconter nos petites aventures, nos premières fois, nos envies... Il y a deux petites semaines, je décidais d'inviter quelques copines pour une soirée pyjama. Trois copines répondirent favorablement et nous nous retrouvions les quatre chez moi. Même si le concept était le même, nos derniers souvenirs amoureux étaient totalement différents ! Les histoires étaient un peu plus intéressantes, ce n'était plus le premier baiser, ni d'ailleurs la première relation. Quand vint mon tour, je décidais alors de parler de ma toute dernière histoire, avec Takemeout2000 (rencontré sur ce site). Après quelques échanges par internet, on s'était donnés rendez-vous dans un bar en début de soirée. Le feeling passa tout de suite et je tombais sous son charme (et quels yeux !). Je sentais une forte attraction se passer entre nous et après quelques verres, je décidais de l'inviter chez moi. Je l'installais confortablement sur le canapé et allais chercher encore deux petits verres. A mon retour, je me pressais contre lui. C'est toujours le premier geste le plus difficile, mais il me prit simplement la main quelques instants et finit par m'entourer la taille de ses deux bras. Alors ses doigts commencèrent à glisser sous mon top et nos lèvres se trouvèrent. Il avait amené tout ça avec une telle simplicité et une telle sensualité que je ne résitais pas une seconde (je n'en avais pas envie de toute façon !). Je me levais et l'emmenais vers mon lit. Je lui enlevais son t-shirt et me collais contre lui. Nos deux corps ne faisaient qu'un, ses doigts glissaient le long de mon ventre et sa langue parcourait ma poitrine. Je commençais à mouiller et je sentais son sexe se frotter au mien. Nos pantalons s'enlevèrent rapidement. Je jouissais totalement et je le sentais s'enfoncer en moi. J'avais l'impression que le temps s'était arrêté. Il ne s'arrêtait pas et je le gardais près de moi. Quel bonheur ! Cette histoire ne troubla que très peu mes copines, puisqu'elles aussi avaient vécu de semblables situations. Mais l'heure passait et deux copines décidèrent de rentrer. La dernière, Julia, me demanda simplement si elle pouvait rester dormir chez moi. J'acceptais sans problème. Quelques minutes après que les autres filles soient parties, Julia se rapprocha de moi et nos discussions reprirent. Et puis soudain, alors que je m'y attendais pas, elle me caressa la joue tendrement. Ses doigts effleurèrent ma peau, et je sentis un frisson me traverser. Elle l'avait aussi remarqué et décidait de continuer. Sa main se posa sur mon épaule, puis descendit lentement le long de mon bras. Elle passait en revue ma silhouette, presque sans me toucher. Mais quand elle arriva sur ma poitrine, je sentis une plus forte pression. Elle déboutonna mon haut de pyjama sans que je puisse prononcer un mot, elle me lécha mon corps et m'embrassa fougueusement. Je décidais de faire pareil et je posais délicatement mes doigts sur sa peau, si douce. Je lui enlevais sa chemise de nuit et me pressais contre elle. Mes seins se frottèrent un moment aux siens. Je prenais ses seins dans mes mains, puis les lèchait. Elle cherchait mon sexe, enlevait mes dessous et m'enfonçait délicatement ses doigts. Alors ce ne fut que caresses, sensualité, tendresse... Quel moment d'extase ! Ses doigts parcouraient mon corps, sa langue me léchait partout et moi, je me laissais dominer par elle. Pour finir, elle n'eut même pas besoin d'utiliser le canapé-lit, mais elle resta avec moi et contre moi. Je m'endormais dans ses bras car lorsque je me réveillais le lendemain, nous étions enlacées. Je ne pus résister et la caressais encore. Nous nous sommes embrassées encore langoureusement et longuement. Mais l'heure avançait et Julia finit par me quitter...

Je sait que je vais vais vous faire bander comme des taureau et c'est cela qui m'éxcite..bisou